J'ai envie aujourd'hui de faire ce que je ne fais jamais: ressortir une photographie déjà parue. Deux, même, depuis 2009 je n'ai pas encore choisi!
J'y ajoute une chanson qui me trotte dans la tête.
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Oui je vois ce que tu veux dire sur la place du photographe, je ressens souvent la même chose. Et personnellement, j'ai souvent du mal à me trouver, dans tous les sens du terme !<br />
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Il est facile de faire de bonnes photographies sans trop de mal. Mais en quoi sont-elles uniques, personnelles? Si la photographie est un mode d'expression, qu'y livre-t-on de soi? A quel degré?<br />
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A
Anne V.
22/10/2010 19:30
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Couleurs magnifiques, des clichés et un clip de circonstances !<br />
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Je les ai ressorties à cause de l'actualité et du fait qu'elles restent parmi mes meilleures images, pour leur sens, leur forme et la résonnance qu'elles ont pour moi. Souvent je me demande:<br />
"C'est beau, mais où est le photographe dans cette image, qu'est-ce qu'il livre de lui?" Là, je sais!<br />
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P
Pastelle
22/10/2010 13:10
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Je n'avais jamais vu le clip, juste entendu la chanson. <br />
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Drôlement bien fait. Merci. <br />
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Tes photos vont bien. Je comprends ce que tu veux exprimer avec ton association. <br />
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Je choisis la seconde, ce couple serré l'un contre l'autre vis à vis de l'angoisse du monde en face. Un peu d'optimisme, quoi... <br />
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Un peu de romantisme dans ce monde brutal! Feux des fumigènes d'alerte, feux des drapeaux aussi, le manteau rouge, un couple serré: quand je les ai vus, c'était un tableau plein de<br />
symboles. D'optimisme, je suis moins sûr. "C’est gênant / De rejoindre comme ça la cohorte des perdants / Il faut pas se faire d’illusions/ Mais c’est mieux debout pour l’action."<br />
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Les rues, le hasard. C'est le journal de ma ville, mon journal aussi. Une approche joueuse, "au sentiment". Au flâneur, le quotidien révèle ce qu'il porte d'insolite, de merveilleux, poétique, drôle. D'imprévu. Un théâtre de rue, en quelque sorte.